Due amici si erano persi in un deserto arido, sotto un sole bruciante e non avevano quasi più acqua.
Dopo un pò il caldo diventa tale che litigano per le ultime gocce di acqua. Uno dei due dà uno schiaffo all'altro. Quest'ultimo sente dolore ma non dice niente e scrive sulla sabbia:
OGGI IL MIO MIGLIORE AMICO MI HA DATO UNO SCHIAFFO
Stupito, il suo amico si scusa e in silenzio continuano a camminare. L'indomani arrivano in un'oasi. Si tuffano subito in acqua, ma quello che aveva scritto sulla sabbia sviene e annega. Il suo amico allora si tuffa e lo riporta a riva. Dopo essersi ripreso dall'annegamento l'uomo trova una pietra e incide sopra:
OGGI IL MIO MIGLIORE AMICO MI HA SALVATO LA VITA
Allora il suo amico gli chiede: "quando ti ho ferito hai scritto sulla sabbia e adesso scrivi sulla pietra" Perché?
L'altro risponde: "quando qualcuno ci ferisce dobbiamo scriverlo sulla sabbia laddove il vento del perdono può cancellarlo. Ma quando qualcuno ci fa del bene, dobbiamo inciderlo nella pietra, laddove nessun vento lo potrà cancellare".
(Anonimo)
Deux amis
étaient perdus dans un désert aride, sous un soleil brûlant, en n’ayant
qu’une très faible quantité d’eau. Au bout d’un moment, la chaleur est
telle, qu’ils en viennent à se disputer les dernières gouttes. L’un des
deux donna une gifle à l’autre. Ce dernier, endolori mais sans rien
dire, écrivit dans le sable :
AUJOURD’HUI MON MEILLEUR AMI M’A DONNE UNE GIFLE
Etonné,
son ami ne rétorqua pourtant rien; il s’excusa, et tous deux
continuèrent leur chemin. Le lendemain, ils arrivèrent à une oasis.
Aussitôt arrivé, ils allèrent se baigner dans l’eau. Mais, celui qui
avait écrit sur le sable, perdit connaissance et se noya. Son ami
plongea alors, et le ramena sur la terre ferme. Après avoir repris son
souffle, celui-ci prit une pierre et y grava ces mots :
AUJOURD’HUI MON MEILLEUR AMI M’A SAUVE LA VIE.
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda: quand je t’ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre. Pourquoi? »
L’autre ami répondit: « Quand quelqu’un nous blesse, nous devons l’écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l’effacer. Mais quand quelqu’un fait quelque chose de bien pour nous,nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l’effacer « .
(Anonyme)
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